Quand on regarde KARL URBAN, on ne pense pas immédiatement au personnage du toubib dans Star Trek. Son physique de surfeur, sa mâchoire carrée, tout le désigne comme un homme d'action. Or, il ne menait pas la vie dure aux geeks dans son adolescence : il en était un.
"Je me souviens encore de la première fois où j'ai enfilé un uniforme de Star Trek. J'en avais des vertiges tellement c'était surréaliste." Mais avant de remplacer DEFOREST KELLEY et d'immortaliser le personnage de Leonard "Bones" McCoy en 2009 dans le film de J.J. ABRAMS, il a fallu qu'il fasse oublié son CV et qu'il prouve qu'il n'était pas fait pour jouer Kirk.
En effet, après Hercule, Xena, Le Seigneur des Anneaux et La mort dans la peau, il lui fallait convaincre J.J. ABRAMS qui l'a auditionné en 2008.
"J'ai vu Karl Urban. La première chose que je me suis dit 'c'est un kiwi [néo-zélandais] il ne me fait pas du tout penser à Bones'. Et puis il a auditionné, il est devenu DeForest Kelley. Il est littéralement devenu Bones. C'était époustouflant."
Car URBAN est un comédien pas un acteur de films d'action. "Je me délecte quand je fais quelque chose de différent parce que quand on me voit, on pense film d'action. Jouer la comédie, explorer l'esprit d'un scientifique, c'est très réjouissant."
Mais URBAN a un défaut. Comme beaucoup de geeks, il collectionne. Les épées du Seigneur des Anneaux, un casque de Dredd, un gun des Chroniques de Riddick, un pardessus en cuir de Bourne et maintenant une bague et un insigne de Star Trek. Il préfère en rire. "Je sais que rien que le dire, ça fait tueur en série."
L'adulte est manifestement ravi d'interpréter Bones et de pouvoir re-crééer le sarcasme et l'indignation du héros de son enfance pour le grand écran. "J'adorais Star Trek quand j'étais môme. J'aimais la science fiction mais si j'ai regardé Star Trek, c'est pour la même raison que des millions de gens. Je suis tombé amoureux des personnages."
SOURCE NY DAILY NEWS / MOVIE FANATIC
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimer